Letout est plus grand que la somme des parties Montez Nergeld et prenez-en le contrÎle. Défendez-le contre les habitants de la Salle des Horreurs jusqu'à ce que le Dr Terrible se montre. Utilisez Nergeld pour tuer le docteur, puis retournez voir la SorciÚre des ossements à Njorndar. Dr Terrible tué Objet fourni :
Parceque "Ordalies" est presque en tout point infĂ©rieur Ă son brillant prĂ©dĂ©cesseur. Seule sa durĂ©e est supĂ©rieure de plus d'une minute Ă celle de "Par Le Sang VersĂ©". Une broutille, me direz-vous, sauf que lorsque l'on Ă©tire ses compositions autant que le fait VĂHĂMENCE sur ce L.P., chaque dizaine de secondes supplĂ©mentaires peut-ĂȘtre la dizaine
Lebut de ce livre est donc, tout Ă la fois, d'aborder certains aspects de la science des systĂšmes et de discuter des implications philosophiques de cette nouvelle science. Ce livre n'est donc ni un ouvrage purement scientifique, ni un ouvrage proprement philosophique mais, plutĂŽt, une tentative de montrer comment un changement majeur de paradigme survenu dans la science
Cest Ă partir de lui que les penseurs et scientifiques arabes et occidentaux du Moyen Ăge jusquâau XVIIe siĂšcle se dĂ©terminent. - PĂšre de la logique et de la mĂ©taphysique, Aristote est aussi le pĂšre de la biologie (du moins le pĂšre de la zoologie, si lâon considĂšre ThĂ©ophraste comme celui de la botanique).
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Tabacet alcool : Le tout est-il plus grand que la somme de ses parties? . Ă Close Log In. Log in with Facebook Log in with Google. or. Email. Password. Remember me on this computer. or reset password. Enter the email address you signed up with and we'll email you a reset link.
00UISoY. J'ai toujours Ă©tĂ© agacĂ© par la maxime Le tout est plus que la somme de ses parties» due au grand Aristote. Elle a Ă©tĂ© commentĂ©e mille fois et presque toujours applaudie sans beaucoup de sens critique. La raison de cette agacement est que je ne voyais pas Ă quoi pouvait correspondre sĂ©rieusement âc'est-Ă -dire mathĂ©matiquement ou logiquementâ ce "plus" que possĂ©derait toujours le tout sur la somme de ses parties. Pour donner Ă la maxime un sens intĂ©ressant âet si possible dĂ©montrableâ, il faut fixer une notion de valeur, et constater âou mieux prouverâ que celle du "tout" est plus grande que la somme des valeurs des "parties". Pour faire une somme, il faut dĂ©passer les idĂ©es vagues et dĂ©finir une mesure. Il faut donc associer un nombre au "tout" et d'autres Ă chaque "partie". La maxime avec peut-ĂȘtre des hypothĂšses restrictives Ă formuler doit pouvoir devenir un thĂ©orĂšme. Il semble assez naturel de rechercher cette valeur sous la forme d'une mesure de complexitĂ© ou de contenu en information car ce plus» Ă©voquĂ© est vraisemblablement un enrichissement, ce qu'aujourd'hui nous cherchons Ă comprendre en employant les mots information et complexitĂ©. En rĂ©sumĂ©, pour tirer quelque chose de formel et donc de prĂ©cis de la maxime sur le "tout" et les "parties", on doit considĂ©rer des objets A1, A2, ..., Ak qui auront chacun une certaine complexitĂ© ComplexitĂ©A1, ComplexitĂ©A2, ..., ComplexitĂ©Ak ne prĂ©cisons pas de quelle complexitĂ© on parle pour l'instant ni son rapport Ă©ventuel avec de l'information, et dont la rĂ©union UnionAi aura une complexitĂ© plus grande que la somme des complexitĂ©s individuelles ComplexitĂ©UnionAi > ComplexitĂ©A1 + ... + ComplexitĂ©Ak Il se trouve que ça ne marche pas bien pour toutes les idĂ©es qui viennent en premier Ă l'esprit du mathĂ©maticien et de l'informaticien thĂ©oricien. Tentative 1 Prenons pour objet des ensembles au sens mathĂ©matique et pour mesure de leur complexitĂ© leur nombre d'Ă©lĂ©ments. Ce n'est pas absurde plus un ensemble comprend d'Ă©lĂ©ments, plus il est complexe. Il y a bien un rapport entre les deux cĂŽtĂ© de l'inĂ©galitĂ© Ă©tudiĂ©e, mais il est inverse de celui qu'on attend ComplexitĂ© UnionAi †ComplexitĂ© A1 + ... + ComplexitĂ© Ak Il s'agit d'un thĂ©orĂšme immĂ©diat en thĂ©orie des ensembles. Dans le cas d'ensembles finis, il n'y a Ă©galitĂ© que lorsque tous les ensembles sont disjoints deux Ă deux, ce qui se produit plutĂŽt rarement. Notre premiĂšre tentative de formalisation, donne et dĂ©montre une maxime opposĂ©e Ă celle d'Aristote ! Tentative 2 Prenons pour objet des problĂšmes algorithmiques applicables Ă des entiers n. Quelques exemples. A1 factoriser n» ; A2 trouver la somme des diviseurs de n» ; A3 dĂ©terminer si n est un nombre premier» ; A4 dĂ©terminer si n est un carrĂ© parfait» ; etc. Prenons pour le tout, le problĂšme de rĂ©soudre l'ensemble des problĂšmes Ă©lĂ©mentaires simultanĂ©ment. Pour mesure de complexitĂ©, prenons âcela va de soi pour qui s'intĂ©resse Ă la complexitĂ© des algorithmesâ le nombre d'opĂ©rations nĂ©cessaires ou la taille de la mĂ©moire nĂ©cessaire pour mener la rĂ©solution des problĂšmes. On sait par exemple depuis 2002 que savoir si un nombre n est premier problĂšme de la primalitĂ© est polynomial en fonction de la taille de n. Avec cette formalisation on ne peut plus naturelle pour qui s'occupe d'algorithmes, la maxime d'Aristote ne marche toujours pas. En effet, la complexitĂ© de la rĂ©solution du "tout" sera au plus la somme des complexitĂ©s des "parties" et sera souvent plus faible car certains problĂšmes comme ceux de notre liste bĂ©nĂ©ficient des calculs faits pour d'autres ce qui permet des Ă©conomies de ressource pour qui cherche Ă traiter les problĂšmes simultĂ©nĂ©ment. La complexitĂ© du "tout", dans le cas des problĂšmes et algorithmes, est toujours infĂ©rieure ou Ă©gale Ă la somme des complexitĂ©s des "parties". ComplexitĂ© UnionAi †ComplexitĂ© A1 + ... + ComplexitĂ© Ak Dommage ! Tentative 3 On considĂšre des objets numĂ©riques finis et on mesure leur valeur par la complexitĂ© de Kolmogorov, qui, par dĂ©finition, est la taille du plus petit programme qui les engendre. Cette mesure de complexitĂ© est aujourd'hui unanimement considĂ©rĂ©e comme la bonne mesure du contenu en information» d'un objet numĂ©rique. Elle gĂ©nĂ©ralise l'entropie de Shannon. Elle est utilisĂ©e en informatique mais aussi en physique, en philosophie des sciences, en biologie, en psychologie. Pas de chance, et c'est plus grave ici car il s'agit vraiment d'une mesure de contenu en information, lĂ encore la complexitĂ© de Kolmogorov d'un ensemble d'objets numĂ©riques finis est infĂ©rieure ou Ă©gale Ă la somme des complexitĂ©s de Kolmogorov des objets pris un Ă un. C'est un thĂ©orĂšme de la thĂ©orie. L'idĂ©e de la dĂ©monstration est simple les programmes les plus courts qui engendrent A1, A2, ..., Ak, peuvent ĂȘtre mis bout Ă bout ; ils constituent alors un programme qui engendre le "tout" ; ce programme somme n'est peut-ĂȘtre pas le plus court qui donne le "tout", mais le programme le plus court qui donne le "tout" sera plus court puisqu'il y a dĂ©jĂ ce programme lĂ et donc la complexitĂ© du "tout" sera infĂ©rieure Ă la somme des complexitĂ© des "parties". LĂ encore, la thĂ©orie dit et dĂ©montre le contraire de la maxime d'Aristote. Fort de ces exemples, il me semblait que jamais dans aucun cas, on ne pouvait mathĂ©matiquement trouver des situations oĂč la complexitĂ© du "tout" est plus grande que la somme des complexitĂ©s des objets pris individuellement. MĂȘme en cherchant le plus honnĂȘtement possible, quelle que soit la façon naturelle de dĂ©finir et de mesurer la complexitĂ©, pas de "tout" meilleur que "la somme des parties". PrĂ©cision que dans ma recherche d'une mesure de complexitĂ© satisfaisant la maxime d'Aristote, j'ai exclu les mĂ©thodes factices oĂč on place dans le "tout" autre chose que l'ensemble des "parties". Par exemple, je ne considĂšre pas comme une illustration acceptable de la maxime d'Aristote qu'on dise qu'il y a dans un mot plus que ce qu'il y a dans l'ensemble de ses lettres. Il est vrai que dans le mot COMPLEXE, il y a plus que dans la donnĂ©e de l'ensemble de ses lettres C, E, E, L, M, O, P, X, mais c'est bien Ă©videmment parce qu'on ordonne les lettres, et que cet ordre ajoutĂ© aux parties constitue le "plus" qu'on trouve dans le "tout" et qui n'est pas dans la somme des "parties". De telles illustrations de la maxime d'Aristote sont illusoires et naĂŻves, elles sont triviales et sans intĂ©rĂȘt puisque qu'elles sont basĂ©es sur un ajout cachĂ© quand on constitue le "tout", autrement dit un truc de prestidigitateur. Pouvait-il exister des cas recevables illustrant formellement la maxime d'Aristote dans le champ contemporain des sciences de la complexitĂ© ? Enfin un cas qui marche ! La thĂ©orie algorithmique de l'information qui dĂ©taille tout ce qu'on peut dire et dĂ©montrer sur la complexitĂ© de Kolmogorov a introduit une notion qui va nous sauver. Il s'agit de la profondeur logique de Bennett» qui est, par dĂ©finition, le temps de calcul du plus court programme qui produit l'objet numĂ©rique fini auquel on s'intĂ©resse. C'est une mesure de complexitĂ© structurelle» une mesure de la richesse en organisation, ce que n'est pas la complexitĂ© de Kolmogorov qui n'est qu'une mesure de contenu incompressible d'information». Ces deux mesures de complexitĂ© diffĂšrent le plus Ă propos des objets alĂ©atoires dont l'exemple typique est une suite finie de '0' et de '1' obtenue par des tirages successifs Ă pile ou face. Pour un tel objet alĂ©atoire, la complexitĂ© de Kolmogorov est maximale on ne peut pas le dĂ©crire de maniĂšre sensiblement plus brĂšve qu'en en donnant les Ă©lĂ©ments un Ă un, ce qui est la pire situation puisque l'objet Ă produire sera explicitement dans le programme. Une suite alĂ©atoire des bits est incompressible alors qu'Ă l'inverse la profondeur logique est minimale une suite alĂ©atoire n'est pas structurĂ©e, son contenu en structure est quasi-nul ; sa profondeur logique de Bennett est rĂ©duite au minimum puisqu'exĂ©cuter le programme le plus court qui engendre la suite alĂ©atoire revient Ă exĂ©cuter un programme qui recopie une donnĂ©e explicitement inscrite dans le programme et qu'une telle copie ne peut pas prendre de temps. Dans le cas gĂ©nĂ©ral, la profondeur logique de Bennett ne donne pas que le "tout" a une complexitĂ© plus grande que la somme des complexitĂ©s des "parties". En effet, si vous prenez un tout composĂ© de k fois le mĂȘme objet, sa profondeur logique sera Ă peu de chose prĂšs la complexitĂ© d'un seul objet, et donc sera nettement infĂ©rieure Ă la somme des complexitĂ©s des objets pris un Ă un. Il ne peut y avoir un thĂ©orĂšme du "tout" et des "parties" exprimant sans restriction la maxime d'Aristote, mĂȘme avec la profondeur logique de Bennett ! En revanche, et c'est lĂ que j'ai eu une surprise, il existe des cas oĂč on peut Ă©tablir avec certitude ce qui est assez difficile quand on manie le concept de profondeur logique que la complexitĂ© d'un tout composĂ© de plusieurs objets sera supĂ©rieure Ă la complexitĂ© de la somme de chacun d'eux. Voici un tel exemple imparable. ConsidĂ©rons les deux images A et B. A B Chacune est composĂ©e de '0' pixel noir et de '1' pixel blanc d'une maniĂšre parfaitement alĂ©atoire. Leur profondeur logique de Bennett est donc minimale comme nous venons de l'expliquer un objet alĂ©atoire n'est pas structurĂ© et possĂšde donc une profondeur logique minimale comparable Ă celle d'une suite de mĂȘme longueur composĂ©e uniquement de '0'. Le "tout" composĂ© des deux images A et B n'est pas alĂ©atoire, car les deux images sont intimement corrĂ©lĂ©es. Pour s'en rendre compte, on applique un ou-exclusif entre A et B ce qui donne une image C quand les deux pixels de A et B sont identiques, on met un '1' dans l'images C, sinon on met un '0'. C Faites l'expĂ©rience tĂ©lĂ©chargez les images et superposez-les la superposition simple qui correspond au 'ou' fait dĂ©jĂ apparaĂźtre le rĂ©sultat ; l'opĂ©ration logique 'ou-exclusif' appelĂ©e aussi 'xor' donne exactement C. On voit apparaĂźtre un cĂ©lĂšbre personnage de l'histoire de France, mais on peut bien sĂ»r par le mĂȘme procĂ©dĂ© Ă la base de ce qu'on nomme la cryptographie visuelle » obtenir n'importe quelle image aussi structurĂ©e qu'on le souhaite en partant de deux objets parfaitement non structurĂ©s mais corrĂ©lĂ©s. On montre par ailleurs que partant de A et de C on obtiendra B en appliquant lĂ aussi un ou-exclusif. Il en rĂ©sulte que le programme le plus court qui donnera le "tout" A et B sera le programme le plus court de A associĂ© avec le programme le plus court de C, suivi d'un calcul de ou-exclusif entre A et C, ou sera quelque chose trĂšs proche de ce procĂ©dĂ©. Puisque C est structurĂ© de maniĂšre non triviale, ce programme minimal pour le "tout" A et B aura un temps de calcul plus long que la somme des temps de calcul des programmes minimaux pour A et minimaux pour B qui Ă©taient des programmes trĂšs rapides puisqu'il n'y aucune structure dans A, et aucune structure dans B. La profondeur logique du "tout" A et B" est donc plus grande que la somme de la profondeur logique de A et de la profondeur logique de B. C'est un thĂ©orĂšme et l'Ă©noncĂ© gĂ©nĂ©ral qu'on peut donner de cette situation est le suivant Quelle que soit la profondeur logique d'un objet numĂ©rique C, on peut construire deux objets numĂ©riques A et B, de telle façon que A et B soient chacun de profondeur logique minimale, et que le "tout" constituĂ© de A et de B possĂšde une profondeur logique Ă©quivalente Ă celle de C puisqu'il donne C. ComplexitĂ©A union B > ComplexitĂ©A + ComplexitĂ©B Dans le cas de telles situations, on a bien deux objets dont l'ensemble a une complexitĂ© structurelle plus grande que la somme des complexitĂ©s structurelles des parties. Enfin un cas gĂ©nĂ©ral oĂč la maxime d'Aristote prend un sens formel, prĂ©cis et dĂ©montrable ! Le cas des systĂšmes complexes Je pense que ce n'est pas un hasard si pour rĂ©ussir Ă donner un sens mathĂ©matique prĂ©cis Ă la maxime d'Aristote en proposant une notion bien dĂ©finie de valeur des objets qu'on combine, il a fallu se rĂ©fĂ©rer Ă la complexitĂ© structurelle telle que l'a dĂ©finie Bennett et surtout pas Ă la complexitĂ© de Kolmogorov qui ne donnera jamais l'inĂ©galitĂ© recherchĂ©e puisqu'on dĂ©montre qu'elle donne l'inĂ©galitĂ© inverse . Il est probable que ceux qui Ă©voquent ce "tout" qui est plus que la "somme" de ses "parties" ont en tĂȘte des situations oĂč c'est bien l'organisation ou encore "la richesse en structures", "la valeur fonctionnelle", "le contenu en calcul" qui sert Ă mesurer ce que valent le "tout" et ses "parties". L'idĂ©e exprimĂ©e par la phrase d'Aristote est souvent fausse âelle intĂ©resse d'ailleurs parce qu'on la perçoit comme paradoxaleâ, mais il y a des cas oĂč le paradoxe devient vrai et prouvable ceux oĂč ce qui mesure la valeur du tout est vraiment liĂ© Ă une richesse en structures. Ces cas font l'intĂ©rĂȘt de la maxime. Croire Ă la maxime et en faire un pilier philosophique des rĂ©flexions sur la complexitĂ© sans mĂȘme chercher Ă savoir de quoi elle parle, ni si cela peut se mathĂ©matiser est une attitude ridicule puisque le plus souvent c'est l'inĂ©galitĂ© inverse qu'on peut dĂ©montrer mĂȘme quand on envisage la complexitĂ© des algorithmes ou la complexitĂ© de Kolmogorov. Disposer d'un cas prĂ©cis oĂč la maxime devient vraie est trĂšs Ă©clairant, et je considĂšre qu'avec l'exemple proposĂ©, on a une preuve nouvelle du bien fondĂ© de la dĂ©finition de Bennett la complexitĂ© structurelle d'un objet fini Ob se mesure par le temps de calcul de son programme le plus court», ou, dans la version plus tolĂ©rante de la dĂ©finition de Bennett, par le temps de calcul des programmes courts que produisent Ob». Il existe peut-ĂȘtre d'autres procĂ©dĂ©s formels non illusoires donnant un sens Ă la maxime d'Aristote, mais celui qui s'appuie sur la profondeur logique de Bennett appliquĂ©e Ă l'association de deux objets structurĂ©s et corrĂ©lĂ©s est probablement central du fait de sa place au sein de la thĂ©orie algorithmique de l'information qui est la thĂ©orie la plus gĂ©nĂ©rale de l'information. Dans les systĂšmes complexes, comme les sont les organismes vivants ou les Ă©cosystĂšmes, les interdĂ©pendances font qu'on est le plus souvent dans une situation semblable Ă celle des images A, B et C. Ce qui est apparu dans un premier temps l'exception y devient la rĂšgle. La complexitĂ© du "tout" mesurĂ©e par la profondeur logique de Bennett est donc, dans de telles structures, supĂ©rieure Ă la somme des complexitĂ©s des "parties". Bien Ă©videmment, Aristote ne pensait pas Ă la profondeur logique de Bennett, mais il me semble qu'aujourd'hui pour donner un sens technique Ă son intuition âet il ne faut jamais renoncer Ă de tels objectifsâ, la meilleure mĂ©thode possible est de l'Ă©voquer. Qu'il ait fallu deux mille ans pour que l'intuition du Stagirite trouve une forme mathĂ©matique robuste et devienne l'objet de science, n'est-ce pas la preuve, encore une fois, de son exceptionnel gĂ©nie ! Sur la cryptographie visuelle voir Sur la profondeur logique de Bennett voir
ï»żComme ces exemples l'illustrent, [...] nous croyons que le tout est plus grand que la somme de ses parties lorsque nous mobilisons [...]toutes nos capacitĂ©s de prestataire [...]de services financiers intĂ©grĂ©s. As these examples [...] illustrate, we believe the whole is greater than the sum of the parts when we leverage our [...]full capability as an integrated financial services provider. Cette dĂ©marche novatrice pour des soins de santĂ© collaboratifs au [...] Canada prouve que le tout est plus grand que la somme de ses parties. It is a groundbreaking approach to health-care collaboration in Canada that [...] certainly proves that the whole is bigger than the sum of its parts. L'Ă©conomie des rĂ©seaux nous enseigne que, dans le cas [...] des marchĂ©s, le tout est plus grand que la somme de ses parties. Network economics tells us [...] that, with markets, the whole is greater than the sum of the parts. Il s'agit vĂ©ritablement d'une [...] situation oĂč l'on dit que le tout est plus grand que la somme de ses parties, et notre confĂ©rence l'a [...]clairement [...]dĂ©montrĂ©, en prĂ©sentant diverses initiatives conjointes, et j'aimerais maintenant vous parler de quelques-unes d'entre elles. It really is a situation where the whole is greater than the sum of its parts, and that became clear [...]at our conference, where [...]we heard about various joint initiatives, and I would like to tell you about some of them. Enfin, la mise sur pied de centres rĂ©gionaux des opĂ©rations interarmĂ©es CROI a permis de placer du personnel hautement qualifiĂ© dans l' œil de la tempĂȘte d'information » pour scruter l'horizon incertain des donnĂ©es Ă la recherche de la moindre lueur de renseignement [...] numĂ©rique et assembler les divers Ă©lĂ©ments dans [...] l'espoir que le tout ainsi obtenu soit plus grand que la somme de ses parties. Finally, the creation of Regional Joint Operation Centres RJOC has placed highly skilled personnel in the 'eye of the information storm,' earnestly searching the unsettled data horizon for glimmers of [...] digital intelligence, and fusing individual [...] bits in hopes that the assembled whole will be greater than the sum of its parts. Le chaos et la complexitĂ© rĂ©cemment dĂ©signĂ©s par certains scientifiques et [...] philosophes comme chaoplexitĂ© [...] » suggĂšrent cependant qu'un tout est plus grand que la somme de ses parties - que les relations entre les parties doivent [...]ĂȘtre incluses dans notre comprĂ©hension. What chaos and complexity recently articulated by some [...] scientist/philosophers as [...] chaoplexity is that the whole is greater than the sum of its parts - that relationships between parts must be included [...]in our understanding. Chaque recommandation est indispensable pour faire [...] du systĂšme un tout plus grand que la somme de ses parties, et non plus petit, comme cela a parfois Ă©tĂ© le cas. Each is individually vital to make the system greater than the sum of its parts, not smaller as has sometimes been the case. C'est lĂ une chose peut-ĂȘtre plus fondamentale dans son ensemble que la somme de ses diffĂ©rentes parties. That is something perhaps more fundamental in its totality than the sum of all its individual parts. La valeur ajoutĂ©e [...] d'une telle approche est de considĂ©rer que le tout vaut plus que la somme de ses diffĂ©rentes composantes. The added value of an integrated approach is that the whole is more than the sum of its parts. C'est comme les piĂšces d'un puzzle qui, une fois assemblĂ©es, donnent une image plus grande que la somme de ses parties. It is like the pieces of a jigsaw fitting together and the final picture being greater than the sum of its parts. Cela crĂ©e au Canada des synergies qui font en sorte [...] que notre pays est bien plus que la somme de ses parties. That provides synergies in Canada, [...] which allow Canada to be better than the sum of its parts. Il faut donc [...] examiner cela de plus prĂšs au lieu de simplement postuler que le tout n'est rien d'autre que la somme des parties. So we really need to look carefully at that before just assuming that the whole is more than the sum of its parts. R. Lorsque j'ai joint le Partenariat l'automne dernier, mon premier objectif Ă©tait de comprendre pleinement ce [...] qui se passait, de [...] regarder toutes les piĂšces du casse-tĂȘte et de me demander Y a-t-il un tout ici qui soit plus grand que la somme de ses parties? A. When I joined the Partnership last fall, my first goal [...] was to really [...] understand what was going on, to look at all the puzzle pieces and ask, 'Is there a whole here that is greater than the sum of its parts? Je veux dire par lĂ que le tout est davantage que la somme de ses parties et qu'en modifiant [...]l'une quelconque d'entre elles [...]on transforme le "tout", c'est-Ă -dire l'institution dans sa globalitĂ©. The whole is more than the sum of its parts, and if any part is modified the [...]entire institution, the 'whole', changes. Ce plan consolidĂ© [...] dĂ©montre que notre tout est supĂ©rieur Ă la somme de nos parties et que le travail collaboratif [...]de toutes les divisions crĂ©e une valeur [...]supplĂ©mentaire pour l'organisme. This consolidated strategic plan [...] recognizes that we are more than the sum of our parts and that all areas working [...]together create additional value for the enterprise. Le personnel a une attitude positive et optimiste; il a comme devise le tout est plus grand que la somme des parties ». The attitude [...] among staff is a positive and optimistic one, with a motto of "the whole is greater than the sum of its parts. L'ensemble est donc bien plus grand que la somme de ses parties. Thus, the total is more than the sum of the parts. Si les intervenants en promotion de la santĂ© et en prĂ©vention des maladies travaillaient ensemble, ils formeraient un tout beaucoup plus productif que la somme de ses parties. Working together in health promotion and disease prevention, the whole could be so much greater than the sum of the parts," he adds. L'ensemble est meilleur que la somme de ses deux parties. The whole is better than the sum of its two parts. Analyse Pour estimer la valeur d'un bien non marchand dans sa globalitĂ©, par [...] opposition Ă la variation d'un [...] seul de ses attributs, il faut supposer que la valeur du tout est Ă©gale Ă la somme de ses parties. Discussion In order to estimate the value of a non-market good in its entirety, as distinct from a [...] change in one of its [...] attributes, it is necessary to assume that the value of the whole is equal to the sum of its parts. S'il est vrai qu'un [...] organisme est plus fort que la somme de ses parties, il est Ă©galement vrai que l'association est grandie par les rĂ©alisations [...]de ses partenaires. While it's true that a strong organization is greater than the sum of its parts, the association is enhanced by the capacity and [...]capability of its partners. Le portail et donc la [...] Commission qui le gĂšre jouera un rĂŽle important et apportera une valeur ajoutĂ©e Ă la facilitĂ© de recherche de donnĂ©es autrement dit, l'ensemble est plus que la simple somme de ses parties. The portal and therefore the [...] Commission managing it will play an important role and provide an added value to the easiness of finding the data in other words, the whole is more than the mere sum of the parts composing it. Toute ville est bien davantage que la somme de ses parties et ce qui caractĂ©rise le fait urbain, c'est prĂ©cisĂ©ment l'interdĂ©pendance [...]des activitĂ©s, des acteurs [...]et des processus, sociaux, Ă©conomiques et culturels. A town is much more than the sum of its parts, and what characterises the condition of being urban is, in actual fact, the interdependence [...]between its activities, [...]players and processes, whether they are of a social, economic or cultural nature. Les chercheurs ont dĂ©jĂ fait une dĂ©couverte intĂ©ressante au sujet des huiles [...] essentielles le tout est plus important que la somme des parties. Scientists have already made an interesting discovery [...] about essential oils - the whole is greater than the sum of the parts. Vous serez surpris [...] d'apprendre que les thĂ©ories de l'Ă©mergence prennent appui sur le supposĂ© que le tout est supĂ©rieur Ă la somme des parties. You may be [...] surprised to learn that emergence theories are based in quantum physics - the whole is more than the sum of its parts. Lieux de culture et d'Ă©change, les Centres culturels de rencontre ont pour vocation de lier la dĂ©marche locale et le plus vaste horizon, d'explorer les diffĂ©rences comme des [...] richesses, de [...] travailler en rĂ©seau, de faire circuler les hommes et les idĂ©es, afin que le tout soit bien plus que la somme des parties », comme l'a [...]si bien Ă©crit Jacques Rigaud. As places for cultural exchange, the aim of these centres is "to associate local processes with a vaster horizon, to explore [...] differences as blessings, to work as a network, [...] to circulate and to exchange ideas, so that the entity be more than the sum of all its parts," as described by Jacques Rigaud. Comme le signalait [...] derniĂšrement le directeur gĂ©nĂ©ral sortant de l'Institut du Dominion, Rudyard Griffiths, si nous n'arrivons pas Ă relever ce dĂ©fi, nous risquons de perdre quelque chose qui aura des rĂ©percussions pour tous notre capacitĂ© d'imaginer ce que veut dire l'appartenance Ă une nation qui est beaucoup plus grande que la somme de ses If we are unable to respond to this issue, as the outgoing executive director of the Dominion Institute, Rudyard Griffiths, recently stated, "we stand to lose something that will affect all of us the ability to imagine what it means to belong to a nation that is greater than the sum of its parts.
Points clĂ©s Ă retenir - Le tĂ©lĂ©travail a montrĂ© quâil pouvait fonctionner sur courte pĂ©riode, et câest une leçon importante. Mais ses gains et son efficacitĂ© restent Ă dĂ©montrer sur longue pĂ©riode. - Le tĂ©lĂ©travail pourrait ĂȘtre un remĂšde pire que le mal sâil venait Ă ĂȘtre utilisĂ© pour de mauvaises raisons. Câest un outil, le cĆur du changement rĂ©side dans la gestion des La valeur de lâimmobilier ne se rĂ©sume plus Ă des mÂČ , mais rĂ©side dans la capacitĂ© dâun immeuble Ă faire que les Ă©quipes travaillent mieux quâailleurs- La mise en place du tĂ©lĂ©travail se fera progressivement et les entreprises qui envisagent de lâappliquer massivement sont des exceptionsCâest entendu, tout le monde va passer au tĂ©lĂ©travail. AprĂšs tout, ses vertus ne sont-elles pas Ă©videntes ? Jean-Claude ne sera plus lĂ pour distraire tout le monde avec ses blagues intempestives. Et puis qui voudrait encore passer 1h30 dans les transports tous les jours ? Enfin, et non des moindres, qui ne veut pas apparaĂźtre moderne » ?Venons-en aux vertus de ce mode de travail. Sujet glissant tant le dĂ©bat se prĂȘte Ă des points de vue caricaturaux entre les pro » et les anti » et laisse peu de place aux faits, faute dâĂ©tudes et de recul. Mais on peut dire sans trop de risque de se tromper que chaque systĂšme a ses avantages et ses dĂ©fauts. Or en lâoccurrence nous ne connaissons pas encore ceux du tĂ©lĂ©travail sur longue pĂ©riode. Faut-il opposer le prĂ©sentĂ©isme » au tĂ©lĂ©travail ?Selon un sondage IFOP[1] - BNP Paribas Real Estate, avec un taux dâapprobation de 80%, la principale rĂ©percussion dâun recours massif au tĂ©lĂ©travail serait de voir les salariĂ©s en tĂ©lĂ©travail adapter leur temps de travail Ă leur charge rĂ©elle de travail ». Autrement dit, le tĂ©lĂ©travail aurait pour principale vertu de nous dĂ©barrasser du prĂ©sentĂ©isme ». Mais rien nâindique que le tĂ©lĂ©travail rĂ©soudrait ce problĂšme Ă lui tout seul. Nâoublions pas que le tĂ©lĂ©travail est un simple outil ; tout dĂ©pend de lâusage quâon en fait. Et gare aux apprentis experts qui rĂ©cemment munis dâun marteau voient des clous partout ! Car mal utilisĂ© le tĂ©lĂ©travail pourrait empirer la situation. Les outils informatiques peuvent renforcer la surveillance des salariĂ©s par lâemployeur, ou crĂ©er un cercle vicieux oĂč les employĂ©s se sentiraient obligĂ©s de montrer » leur engagement en travaillant Ă toute heure. Les rĂ©pondants semblent donc confondre le symptĂŽme et la causeMal employĂ©, le tĂ©lĂ©travail pourrait bien ĂȘtre le fossoyeur de la culture dâentrepriseLes rĂ©pondants dans ce sondage sont par contre plus lucides, selon moi, quant au risque dâun tĂ©lĂ©travail appliquĂ© massivement Ă 59% ils jugent vraisemblable que les tĂ©lĂ©-Ă©quipiers ne seront pas sensibles Ă la culture de lâentreprise ». Alors mĂȘme quâils sont 71% Ă juger cette condition peu souhaitable. Si comme moi vous pensez que la culture dâentreprise est un Ă©lĂ©ment clĂ© de sa rĂ©ussite, la perspective du tĂ©lĂ©travail sâavĂšre peu engageante. Sans oublier lâimportance du lieu de travail pour les nouveaux talents, la crĂ©ativitĂ©, le lien social, la marque. A ce sujet je vous invite dâailleurs Ă lire le trĂšs bon billet de Guillaume Poitrinal Pourquoi je suis de retour au bureau ».Le changement se fera progressivement, et cela fait toute la diffĂ©rence entre une rĂ©volution et une Ă©volutionFermez le ban, il nây a rien Ă voir ? Non, ça serait trop facile. AprĂšs deux mois de confinement oĂč le tĂ©lĂ©travail a permis la continuitĂ© de bon nombre dâentreprises, ce serait faire preuve de cĂ©citĂ© que de refuser dâanalyser ce deux mois de confinement oĂč le tĂ©lĂ©travail a permis la continuitĂ© de bon nombre dâentreprises, ce serait une erreur de refuser dâanalyser et de comprendre ce y a fort Ă parier quâune Ă©volution, quelle que soit son amplitude, se fasse graduellement. Les plus sceptiques pourraient mĂȘme rappeler que cela fait vingt ans que le tĂ©lĂ©travail devait sâimposer du jour au au-delĂ de la survenance ou non du tĂ©lĂ©travail dans nos vies, rappelons quâen matiĂšre dâimmobilier, le temps long prend toute son importance. Les changements se font graduellement. Et câest tant mieux car câest prĂ©cisĂ©ment ce qui rend lâimmobilier intĂ©ressant aux yeux des investisseurs, le temps long, cette denrĂ©e rare !Apprenons des erreurs des autres lâimmobilier ne se rĂ©sume pas Ă des mÂČ , mais Ă une solution fournie Ă un clientLe monde tertiaire a changĂ© depuis 2008 des tiers lieux et des opĂ©rateurs de co-working ont Ă©mergĂ© Morning Coworking, Deskeo, etc., des outils de collaboration en ligne efficaces se sont gĂ©nĂ©ralisĂ©s, et une nouvelle gĂ©nĂ©ration de collaborateurs est arrivĂ©e avec des attentes industrie nâest immunisĂ©e contre le changement, la fameuse disruption »[ . Rappelons-nous que des industries entiĂšres regrettent dâavoir niĂ© lâimpact du digital. La musique et la presse par exemple, qui ont confondu le support quâelles faisaient payer au client et lâusage qui apportait de la valeur au client. Dans lâimmobilier câest un peu pareil si on voit le bureau comme un simple cumul de mÂČ Ă facturer, il perdra de sa valeur, car le mÂČ nâest pas la valeur apportĂ©e au client. La valeur dâun immeuble rĂ©side dans la capacitĂ© Ă offrir un espace oĂč les Ă©quipes collaborent mieux quâailleurs et notamment mieux quâen ligne. Le bureau nâest plus le seul lieu oĂč peut se produire un travail, câest un fait. Mais cette fonction ne disparaĂźt pas pour autant. Et les autres fonctions de lâimmobilier prennent une importance nouvelle les rencontres, lâimage, les relations informelles qui mettent de lâhuile dans les rouages. Autant de fonctions que le tĂ©lĂ©travail ne saurait remplir facilement. Sans oublier les coĂ»ts cachĂ©s pour gĂ©rer cette organisation nouvelle ex sĂ©curitĂ© informatique.Pour 94% des directeurs financiers, le recours au tĂ©lĂ©travail sera marginal ; dâautant moins que les gains financiers sâavĂ©reront sĂ»rement infĂ©rieurs Ă ce quâils imaginentMcKinsey sâappuyant sur les chiffres du Gartner Group a menĂ© une Ă©tude[2] auprĂšs des directeurs financiers. Leur point de vue est dĂ©terminant lorsquâil sâagit de dĂ©cisions immobiliĂšres. Ă la question quel pourcentage de votre personnel passera en 100% tĂ©lĂ©travail aprĂšs lâĂ©pidĂ©mie parmi le personnel qui ne lâĂ©tait pas dĂ©jĂ auparavant ? » o 53% des directeurs financiers estiment que cela concernera entre 0% et 5% de leur personnel o 25% dâentre eux tablent sur 10%o 17% anticipent que cela vaudra pour 20% des final, 6% des entreprises pensent que cela concernera 20 Ă 50% de leurs effectifs, voire plus. Certes, cela compte, mais rien, que le marchĂ© immobilier ne sache absorber dans la durĂ©e. Surtout lorsquâon sait que le taux dâoccupation des bureaux Ă©tait de 95% dans la plupart des grands marchĂ©s immobiliers en France avant la crise. Soit un taux de vacance trĂšs faible, quasiment incompressible du fait de la viscositĂ© » du quâune question nâest pas abordĂ©e par cette enquĂȘte le calcul financier. Mettre tous ses salariĂ©s en tĂ©lĂ©travail est sĂ©duisant pour un directeur financier qui imagine rĂ©duire les charges immobiliĂšres liĂ©es Ă ses bureaux. Seulement, la direction Ressources Humaines viendra lui rappeler les obligatoires nĂ©gociations qui vont avoir lieu avec les syndicats ou reprĂ©sentants du personnel quant Ă lâindemnisation des salariĂ©s en tĂ©lĂ©travail prise en charge financiĂšre du bureau Ă la maison, du matĂ©riel informatique, de lâimprimante, des frais dâĂ©lectricitĂ©, dâaccĂšs internet. On peut donc penser que les premiĂšres intentions des directeurs financiers, qui sont sommes toutes timides, seront encore tempĂ©rĂ©es par les coĂ»ts cachĂ©s. Les besoins immobiliers ne devraient pas tant baisser que connaĂźtre une redistribution. Alors bien sĂ»r une redistribution, ça compte aussi, et certains marchĂ©s souffriront alors que dâautres gagnent. Mais ce nâest jamais que la vie normale des affaires.[1]
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Cette citation de Aristote La totalité est plus que la somme des parties. , fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Aristote. Qui est Aristote ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Aristote, né en 384 av. est un philosophe grec de l'Antiquité, originaire de la Macédoine. Il est l'un des penseurs les plus connus du monde et un des rares a avoir abordé des domaines trÚs variés allant de la physique, à la politique puis à la citation parle de totalité, somme et parties. Notre dictionnaire de citations vous propose plus de citations triées par thÚmes et par auteurs. Faites ci-dessous une recherche sur un mot clé ou sur une expression entiÚre. Vous pouvez également choisir de consulter nos meilleures citations classées grùce aux votes des internautes. Partager cette citation Vous trouverez ci-dessous des illustrations de cette citation de Aristote que vous pouvez facilement télécharger ou publier directement sur vos réseaux sociaux préférés tels que Facebook, Twitter, Instagram ou Pinterest. Citations similaires Dans les citations ci-dessous vous trouverez des citations similaires à la citation de Aristote La totalité est plus que la somme des parties., contenant les termes totalité, somme et parties. Voir d'autres citations d'auteurs Découvrez des centaines d'auteurs célÚbres et toutes leurs citations célÚbres. Coco CHANEL Edme Boursault Francis Bacon Gabrielle ROY Georg Christoph Lichtenberg Guillaume APOLLINAIRE Hafid AGGOUNE Jacques Salomé Jean-Marie ADIAFFI Milan KUNDERA Philippe GELUCK Pierre BAILLARGEON Rechercher une citation
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