Lavoie d’abord pour poser une prothèse de hanche. La voie utilisée par le docteur Fouilleron et le docteur Maisongrosse pour l’implantation de la prothèse est une voie antérieure (voie de Hueter), parfois de rottinger ou postérieure, par une technique mini-invasive qui permet une préservation optimale des muscles et parties molles. La taille de l’incision varie de 5 à 12 cm selon Présentationde l'institut; Dr Nicolas MORIN-SALVO; Dr Jean-Marc SOBLER; Actualités; Chirurgie de la hanche. Prothèse de hanche. Par voie antérieure ASIA; Par voie postérieure; Pour fracture du col du fémur; Révision de Prothèse de Hanche; Arthroscopie de hanche; Chirurgie du genou. Prothèse totale du genou. Prothèse totale de genou Larthrose de la hanche (coxarthrose) peut survenir de façon primitive (sans cause retrouvée), ou secondaire (fracture, conflit osseux, infection, ostéonécrose). La coxarthrose peut devenir invalidante à différents moments de la vie d'un patient, notamment en fonction de l'étiologie de l'arthrose et du mode de vie du patient (sportif de haut niveau par exemple). En Lesavantages de la prothèse de hanche par voie antérieure. Récupération plus rapide, pas d’atteinte des muscles postérieurs stabilisateurs. Perte sanguine moins importante (moins de 10 % des patients sont transfusés) Durée d’hospitalisation courte. Risque de luxation de prothèse plus réduit. Le patient est opéré couché sur le voieantérieure - c'est devant la hanche (petite cicatrice ) pas de traumatisme on marche tout de suite et on sort pratiquement sans canne je n'ai même pas eu de besoin de kiné - c'est dire- donc surtout pas de voie postérieure (par la fesse) traumatisme important Cest avec les Docteur Fouilleron et Maisongrosse qu’est prise la décision de réaliser une prothèse en ambulatoire. Cette démarche n’est jamais imposée, parfois proposée et le plus gsOYGR. Prothèse de hanche a 24 ans de recul , posée par le dr Robin à la Pitié Salpétrière en 1993 ça nous rajeunis pas !Usure du polyéthylène à 14 ans de recul , avec excentration de la tête et les images de la prothèse explantée , si on avait mis un protheses avec un couple en alumine , on n'aurait aucune usure ! LA PROTHÈSE TOTALE DE HANCHE La prothèse totale de hanche est le remplacement de l’articulation de la hanche. Elle est utilisée essentiellement dans le traitement de l’arthrose de hanche coxarthrose, mais également dans d’autres pathologies de la hanche l’ostéonécrose, les fractures de la tête fémorale, les maladies rhumatismales. Elle consiste à remplacer la tête du fémur et le cartilage du bassin en regard de la tête fémorale le cotyle. Il existe donc 1 partie fémorale et 1 partie cotyloïdienne , qui s’articulent l’une avec l’autre par une tête prothétique. Les points techniques importants dans une prothèse sont les suivants - le mode de fixation à l’os les prothèses sont soit “sans ciment” , c’est à dire impactées directement dans l’os, soit cimentées , c’est dire fixées à l’aide d’un ciment acrylique à l’os. - La voie d’abord de la prothèse la prothèse peut être implantée par différentes voies d’abord soit antérieure avec une incision à la face antérieure de la hanche , soit postérieure avec une incision au niveau de la fesse . Dans notre équipe nous utilisons les 2 voies d'abord antérieures et postérieures, la voie préférentielle étant la voie antérieure de Hueter. - le matériau au niveau de la jonction entre les 2 pièces on appelle le couple de frottement. Très important pour le risque d’usure à long terme de la prothèse. - soit une tête fémorale en acier articulée avec un plastique dur le polyethylène. - soit un couple de frottement avec un matériau plus dur la céramique d’alumine. Actuellement il y a 2 concepts préférentiellement utilisés en France , et dans notre pratique Les Prothèses Alumine - Alumine Les prothèses double mobilité. ​ Les prothèses Alumine-alumine 90% de nos poses la tête fémorale et le cotyle sont en alumine . Ce matériau a l’avantage de n'avoir pas d’usure, il permet d'implanter une prothèse quelque soit l'âge du patient si les douleurs le justifient sans craindre une usure. L'idée d'attendre le plus longtemps possible avant de se faire opérer, alors que l'on souffre énormément , est totalement obsolète . C'est pour cette raison que nous utilisons préférentiellement dans notre équipe les prothèse Alumine -Alumine. Les prothèses à couplez de friction en céramique on fait disparaitre les risques d'usures , qui étaient la première cause de reprise des prothèses de hanche, cette usure était liée à l'usure du polyéthylène. C'est par cette très grande longévité que l'on est plus inquiet de porter une indication de prothèses , quelque soit l'âge du patient. ​ bibliographie Le couple céramique–céramique en arthroplastie totale de la hanche est supérieur au couple metal-polyéthylène conventionnel un essai clinique randomisé avec 20 ans de recul moyen - 29/01/21 Pascal-André Vendittoli ​ ​ ​ ​ ​ ​ ​ ​ Quelques exemples de contrôle radio de prothèses avec alumine avec un grand recul Aucune usure décelée , c'est l'intérêt de la céramique , qui donne le plus souvent une très grande longévité de la prothèse sans usure. ​ ​ ​ ​ ​ ​ ​ ​ ​ ​ - Les cotyles double mobilité 10% de nos poses Chez certaines personnes patient très agés , maladie neurologique , le risque n'est pas l'usure mais la luxation de la prothèse. Afin de diminuer le risque de luxation de la prothèse, le Pr Bousquet Saint Etienne a inventé une prothèse dite double mobilité. Il existe une mobilité entre deux têtes fémorales de diamètre différent. Ceci permet de réduire considérablement le taux de luxation de la prothèse. Dans notre pratique, ce type de prothèse est surtout utilisé chez les personnes âgées, qui ont des muscles moins fonctionnels et par conséquent plus de risque de luxation. Les tiges fémorales courtes certaines tiges fémorales sontplus courtes tige OK Baby du laboratoire ATF , ce sont des tiges sans ciment qui se fixent uniquement sur la partie proximales du fémur. ​ - Les marques de prothèses que nous utilisons actuellement Nous utilisons plusieurs marques de prothèses de hanche. Le choix d'une prothèse est liée aux habitudes du chirurgien. Nous n'avons pas de lien particulier avec les laboratoires qui commercialisent ces prothèses , le prix des prothèses est "tipsé", c'est à dire que c'est la sécurité sociale qui détermine le prix des prothèses , à son bon vouloir. Ce prix a d'ailleurs été diminué récemment mais pas les coûts de production des prothèses !!!. ​ - Prothèse ATF dr Robin cotyle Exclusif alumine ou Liberty double mobilité , tige Silene ou OK Baby. tige courte - Prothèse Amplitude dr Robin cotyle Saturne et HORIZON , tige HAGAP - Prothèse De Puy dr Elis , dr Nodarian ​ Consignes post opératoires après une prothèse de hanche Après une prothèse totale de hanche l'appui complet est autorisé sauf avis contraire du chirurgien. Les cannes sont une aide à la marche mais peuvent être abandonnées dès que possible, en général le kinésithérapeute voit comment vous marchez avec 1 canne avant de l'enlever. Les fils sont à enlever vers 18 j. La cicatrice doit être impeccable , en cas de soucis sur la cicatrice il faut revenir voir votre chirurgien en consultation. Les anticoagulants souvent Lovenox sont prescris pour quelques semaines 3 à 4 en moyenne , sauf cas particulier, ils ont pour but d’éviter la phlébite. La contention veineuse a également une but de prévention de la phlébite, il est conseillé de les porter au moins 1 semaine, mais il ne faut pas les mettre seul. Un réhausseur de toilettes est recommandé pendant environ 2 mois pour éviter d'être assis trop, bas et diminuer ainsi le risque de luxation. Il faut attendre 3 semaines avant de reconduire une voiture , en faisant attention lorsque l'on monte ou lorsque que l'on descend de voiture. Des contrôles sont nécéssaires avec votre chirurgien, personnellement j'ai l'habitude de revoir les patients vers 1 mois , 3 mois après l'intervention , à 1 an puis en cas de d'apparition de douleurs . Déroulement d’une intervention pour une prothèse de hanche Un bilan pré opératoire complet est nécéssaire consultation anesthésiste et cardiologique , on essaye d'obtenir 14g d'hémoglobine avant l'intervention , pour éviter les transfusions après l'intervention. On est hospitalisé quelques jours , mais la tendance est à la baisse de la durée d'hospitalisation, la date de la sortie étant variable en fonction des suites opératoires, on sort dès que possible , voir le jour de l'intervention si tout va bien. On rentre en général à son domicile , la marche étant autorisée avec appui dès les premiers jours qui suivent l’intervention sauf cas particulier. Sauf les personnes très âgées où une hospitalisation en soins de suite peut être utile. ​ Complications après les protheses de hanches 2/2021 ​ si le taux de satisfaction après une prothèse de hanche est très élevé environ 95 % , il y a quand même des complications potentielles . Elles sont nombreuses , à la fois médicales phlébites par exemple et chirurgicale luxation par exemple ​ Les complications les plus fréquentes sont - luxation de la protheses 2% pour les protheses de première intention par voie antérieure - infection précoce ou tardive 1% pour les protheses de première intention , 4% pour les reprises de protheses - phlébite et embolie pulmonaire leur incidence est en fort recul avec la récupération rapide et le retour domicile - les inégalités de longueur - les complications médicales infarctus , accident vasculaire , décompensation maladie chronique diabète !!, très fortement liées à l'état général du patient avant l'intervention , d'où l'intérêt du bilan pré opératoire anesthésiste et cardiologique . - douleurs résiduelles - symptômes liées à l'atteinte des branches sensitives du nerf latéral du cuisse , symptômes fréquents après l'abord antérieur de hanche , rarement gênant au dela de la première année . - fractures autour de la protheses , soit précoces , soit pendant l'intervention , soit après une chute précoce, soit tardive . elle peuvent nécessiter une fixation par cerclages ou plaques du fémur . - atteintes nerveuses du nerf sciatique ou du nerf crural exceptionnelle sProthèses de hanche à grand recul , sans aucune usure !!! Prothèse de hanche antérieure et postérieure L’approche antérieure pour réaliser une prothèse totale de hanche a gagné en popularité aux États-Unis au cours des dix dernières années. C’est une technique que les patients recherchent pour plusieurs raisons. Ils estiment généralement que c’est une technique moins douloureuse, qu’elle permet une rééducation plus précoce et qu’elle comporte moins de restrictions que l’approche postérieure traditionnelle. Il y a beaucoup d’expériences anecdotiques relatées en ligne par les patients qui soutiennent cette opinion. Ce qui a été prouvé en termes d’études scientifiques, c’est que bien que la récupération initiale soit plus rapide avec l’approche antérieure, à trois mois il n’y a pas de différence entre les hanches totales bien placées faites avec l’approche antérieure par rapport à l’approche postérieure. L’expression clé ici est bien placé ». J’ai utilisé l’approche postérieure pour toutes les prothèses de hanche que j’ai pratiquées de 1983 jusqu’à la fin de 2013. À partir de ce moment-là, j’ai utilisé l’approche antérieure presque exclusivement pour les prothèses de hanche primaires et je l’ai même utilisée pour des chirurgies de révision sélectives. Ma frustration avec l’approche postérieure était d’obtenir des composants bien placés de manière constante, en particulier le composant acétabulaire. L’acétabulaire est une surface concave du bassin. La tête du fémur rencontre le bassin au niveau de l’acétabulum, formant ainsi l’articulation de la hanche. Le placement correct des composants de la hanche totale est l’un des facteurs clés pour obtenir d’excellents résultats à long terme avec une prothèse totale de la hanche. Dans mes mains, j’ai l’impression que le placement correct des composants est quelque chose qui est beaucoup plus cohérent avec l’approche antérieure. Les objectifs d’une prothèse totale de hanche faite par n’importe quelle approche sont 1. Une articulation indolore qui fonctionne bien. 2. Éliminer les complications- Certaines des principales complications de l’arthroplastie totale de la hanche sont l’infection, la luxation des composants, la thrombose veineuse profonde caillot de sang, l’embolie pulmonaire état dans lequel une ou plusieurs artères des poumons sont bloquées par un caillot de sang, le relâchement des composants, les fractures peropératoires, l’inégalité de longueur des jambes et les complications anesthésiques, y compris la mort. 3. diminuer le taux de transfusion sanguine. 4. diminuer la durée de l’hospitalisation. Alors, comment l’approche chirurgicale influence-t-elle tous ces objectifs et complications ? Y a-t-il une approche chirurgicale qui est toujours supérieure à toute autre ? La réponse n’est pas si noire et blanche, mais plutôt une nuance de gris. L’arthroplastie totale de la hanche est réalisée par l’approche postérieure environ 2/3 du temps dans ce pays. L’approche antérieure est réalisée environ 25% du temps et les autres approches représentent le reste. L’approche postérieure est celle qui est enseignée dans la plupart des programmes de formation orthopédique du pays, car elle est polyvalente et la plupart des problèmes de l’articulation de la hanche peuvent être traités par l’approche postérieure. Cela inclut les fractures du col du fémur et les arthroplasties de la hanche pour des conditions arthritiques. L’approche antérieure n’est pas nouvelle et existe depuis le début du 20e siècle. Son utilisation n’a pas été généralisée car elle est littéralement à 180 degrés de l’approche postérieure en termes de vision de l’anatomie de la hanche par le chirurgien. Franchement, c’est une approche qui peut être intimidante jusqu’à ce que le chirurgien s’y habitue et apprenne les forces et les faiblesses qu’elle présente. Alors pourquoi quelqu’un qui était très à l’aise avec l’approche postérieure passerait-il à l’approche antérieure ? En un mot, parce que j’ai l’impression que mes patients obtiennent de meilleurs résultats et ont moins de complications. Je n’ai aucune preuve scientifique de cela autre que ce que j’ai vu au quotidien avec mes propres patients. J’ai l’impression que mon taux de luxation est significativement plus faible, que mon placement des composants est là où je le veux 95% du temps, que mon taux de transfusion est plus faible, que mon incidence de thrombose veineuse profonde et d’embolie pulmonaire est plus faible, que ma durée de séjour à l’hôpital est plus faible, que mon incidence d’inégalité de longueur de jambe est presque inexistante, que l’utilisation de narcotiques est réduite, que mes pertes de sang sont réduites et surtout que mes patients sont beaucoup plus heureux. L’arthroplastie antérieure de la hanche se fait avec le patient allongé sur le dos sur une table spéciale qui permet un positionnement précis de la jambe affectée. L’utilisation d’une unité de fluoroscopie permet une imagerie en temps réel de la hanche au fur et à mesure de l’intervention. Cela permet de placer avec précision les composants qui sont de taille correcte. Elle permet également une égalisation précise de la longueur des jambes, ce dont se plaignent les patients lorsque la longueur de leurs jambes n’est pas égale. Étant donné que l’extrémité inférieure ne place pas la veine fémorale dans une position tordue pendant une période prolongée, il semble que l’incidence de la thrombose veineuse profonde soit réduite chez les patients qui utilisent l’approche antérieure. L’approche antérieure passe entre les plans musculaires au lieu de couper à travers le muscle comme dans l’approche postérieure. C’est moins douloureux et il y a moins de perte de sang. L’essentiel est que l’approche antérieure, dans mes mains, m’a donné, ainsi qu’à mes patients, un meilleur résultat à court et à long terme. C’est une approche moins invasive et moins douloureuse qui est tout à fait perceptible à court terme en ce qui concerne la douleur, la durée du séjour à l’hôpital et la capacité de marche en termes de distance parcourue et d’utilisation d’aides techniques comme un déambulateur ou une canne. Il permet un placement précis des composants, ce qui est le plus important pour l’état des patients à long terme. En ce qui me concerne, il s’agit de l’approche préférée pour les hanches primaires. Elle est également en train de devenir mon approche préférée pour la révision des prothèses de hanche. Au niveau national, l’arthroplastie totale de la hanche par voie antérieure continue de gagner en popularité auprès des patients et des chirurgiens. Je suis d’avis que l’approche antérieure continuera à gagner en popularité en fonction de ses mérites et non du fait qu’il s’agit d’une mode. Le Dr W. Cooper Beazley reçoit des patients au site TOA de Clarksville. L'activité médicale02 Avr 2017 La prothèse totale de hanche par voie antérieure est désormais possible en ambulatoire Le Docteur Tim Ramboaniaina, Chirurgien Orthopédiste, en collaboration étroite avec les équipes d’Anesthésie, a récemment réalisé sa première pose totale de hanche en ambulatoire. C’est la première fois, au CH de Douai, qu’un acte de chirurgie lourde nécessitant d’ordinaire plusieurs jours d’hospitalisation est proposé en ambulatoire. Interview. Comment cette révolution a-t-elle été rendue possible ? Les progrès conjoints des techniques de chirurgie mini-invasive, qui épargnent les structures musculaires, et des techniques d’anesthésie, qui limitent les pertes sanguines et les effets secondaires des antalgiques, permettent aujourd’hui d’effectuer en ambulatoire la pose de prothèse totale de hanche. Avec le Dr Ali Lazkani, chef du service Anesthésie, nous avons développé la Récupération Rapide Après Chirurgie RRAC. Pour aller plus loin, l’intervention par voie antérieure permet la pose d’une prothèse de hanche sans section ou désinsertion musculaire. L’articulation de la hanche est abordée d’une manière anatomique et naturelle, en respectant l’intégrité des tissus environnant l’os, ce qui facilite la récupération et diminue les douleurs post-opératoires. Le taux de luxation précoce grâce à cette technique est estimé inférieur à 1%. La combinaison de tous ces aspects permet au patient d’aller mieux plus vite et de profiter d’un retour à domicile rapide. Cette technique s’adresse-t-elle à tous les patients ? Cette intervention en chirurgie ambulatoire nécessite une sélection stricte des patients patients en bon état général sans pathologies majeures associées, présence d’un accompagnant au domicile, lieu d’habitation assez proche de l’hôpital ainsi qu’une information et une éducation thérapeutique préopératoire adaptée. Le type et la durée d’hospitalisation s’adaptent au cas par cas, en fonction de l’état de santé du patient, de sa volonté et de l’avis de son médecin traitant. Pensez-vous qu’un jour, toutes les opérations pourront être réalisées en ambulatoire ? Docteur Tim Ramboaniaina Cet effet RAAC et ambulatoire n’est pas un phénomène de mode mais une conduite de changement. Elle s’accompagne d’un double enjeu l’optimisation de nos organisations et l’amélioration de la sécurisation du chemin clinique. Si la mise en oeuvre de l’ambulatoire nécessite une vision réfléchie et partagée par la communauté médicale et les autorités de santé, tout le monde s’accorde sur ses avantages une limitation de l’exposition aux infections nosocomiales, la diminution du risque de phlébite, un taux de satisfaction élevé du patient et de sa famille, un gain d’efficacité dans l’organisation des services de chirurgie, ainsi qu’une réduction des coûts pour les établissements de santé et l’Assurance maladie. Il est par conséquent logique qu’elle devienne une priorité nationale. Si toutes les techniques chirurgicales ne peuvent en bénéficier, nous devons encourager son développement. [1] Carol A Mancuso et al., Fulfillment of Patientsʼ Expectations for Total Hip Arthroplasty », The Journal of Bone and Joint Surgery-American Volume 91, no 9 septembre 2009 2073‑78, [2] M. Dauty et J. 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